Michel Audiard crée un tire-bouchon dont l’âme traversera les générations. Ce petit bijou aux attributs de la haute joaillerie diffuse partage et transmission. L’ouvre-vin, Empreinte par Audiard, donne envie de l’effleurer, de le saisir puis de délicatement ouvrir un flacon en subtilisant son bouchon de liège. Pop ! On le repose et l’on verse le vin à déguster. Mais on n’oublie pas l’objet premier qui permet l’expérience gustative. L’artiste rend ici un bel hommage à l’un de ses amis vignerons, qui au cours d’une discussion, lui dévoile ne pas avoir de souvenir de ses aïeuls. Pas même un tire-bouchon.
La nostalgie et l’héritage se dégagent de l’oeuvre renfermant l’empreinte de la main du propriétaire. Mais l’histoire de la perpétuation de « l’Empreinte » est dû à la pugnacité de Sébastien Forest. Le pionnier français de la nouvelle économie insiste et persiste. Il arrive à convaincre Michel Audiard de continuer la réalisation complexe de ses ouvre-vins. On l’en remercie, car aujourd’hui le projet des deux hommes est à notre portée. L’œuvre d’art du quotidien siège fièrement sur notre table, empreinte d’une tradition certes nationale mais surtout familiale. En version bronze argenté, nickel noir ou or, de 10 000€ à 21 000€. empreinteparaudiard.com