Et si on passait au rosé ? Un avant goût d’été et de liberté qui se profile à l’horizon pas si lointain. D’autant que le rosé a gagné ses lettres de noblesse pour être dégusté toute l’année. Et donc, si on passait au Torpez ? Ne pas confondre avec Saint-Tropez. Oui et non, car c’est bien là qu’est né ce vignoble qui réunit, sur 180 hectares, 450 parcelles de vignes entourées d’oliviers, de pins parasol, de figuiers et d’amandiers, fruits du travail de 130 propriétaires récoltants, dont Alain Guichet, œnologue-vinificateur qui préside aux destinées de la marque. Des rosés « à 75% « , mais aussi des rouges et des blancs, dont chaque flacon affiche en reconnaissance le diadème du chevalier Torpez. Un sceau de qualité !
Trois cuvées à noter: la Bravade, en hommage aux bravades, évènement d’importance depuis le 5e siècle. Celui-ci a lieu, avec fifres et tambours, chaque année, du 17 au 18 mai, dans la station balnéaire star. En cœur de gamme, la Bravade est constituée de grenache, tibouren, mourvèdre, cinsault et rolle. Le blanc se compose lui de rolle et d’ugni blanc alors que le rouge se compose de grenache, syrah, mourvèdre et carignan. Puis vient la cuvée Château La Moutte, un haut de gamme parcellaire issu d’une partie du vignoble qui fait face à la mer. Ce qui donne cet excellent Côtes de Povence, aux reflets rose-pêche (19€). C’est enfin l’Ultimum, aux notes épicées, confites, miellées, à la robe abricot aux reflets saumonés. C’est elle qui signe la cuvée premium (25€). Joliment stylisés, les flacons, dont certains sont gravés, affichent un nouveau look empli de rondeurs tactiles. Le tout est à goûter sans tarder, chez vous ou sur place, par exemple lors du festival Jardins de vignes, du 24 au 26 juin. Torpez ? C’est le saint patron des marins et de la ville. On boit à sa santé ! torpez.com